Réflexions de M. ALLAN SAVORY

Allan Savory

https://pitchstonewaters.com/two-princeton-mit-scientists-say-epa-climate-regulations-based-on-a-hoax/

À l’origine en anglais et traduit par Gloogle

https://pitchstonewaters.com/two-princeton-mit-scientists-say-epa-climate-regulations-based-on-a-hoax… Deux climatologues à la retraite de Princeton et du MIT. Les réglementations climatiques « ne sont pas basées sur des faits scientifiques mais plutôt sur des opinions politiques et des modèles spéculatifs qui se sont constamment révélés erronés ». Ils affirment que tout repose sur un consensus évalué par les pairs, mais affirment, à juste titre, je crois : « La science n’a jamais été élaborée par consensus… Peu importe qu’il y ait un consensus. Peu importe qu’un lauréat du prix Nobel dise que c’est vrai ; s’il n’est pas d’accord avec les observations, c’est faux ». « La science, au contraire, n’a besoin que d’un seul chercheur qui ait raison, ce qui signifie qu’il ait des résultats vérifiables par référence au monde réel… En science, le consensus n’a pas d’importance. Ce qui est pertinent, ce sont des résultats reproductibles. Tant de choses sont douces à mes oreilles, tout comme leur description du manque d’éthique dans le monde universitaire. Cependant, de la même manière, en niant le changement climatique dû aux actions humaines, ils ne sont pas eux-mêmes en mesure de commettre les mêmes péchés qu’ils accusent leurs pairs de commettre. Par exemple, aucune mention de la perte factuelle de la biodiversité mondiale, de la désertification et des méga-incendies qui alimentent désormais le changement climatique et s’alimentent les uns les autres. Pour avoir découvert, dans les années 1960, la cause de milliers d’années de désertification d’origine humaine et le fait qu’elle ne peut aujourd’hui être inversée qu’en utilisant l’élevage, ainsi que le processus de planification basé sur 1 000 ans d’expérience militaire européenne, j’ai eu le même diffamation académique et « experte ». Ceci malgré des milliers d’observations, étayées par des essais, des recherches, de la documentation et bien plus encore, et pas un seul élément de preuve scientifique, d’observation ou de critique contraire. Seules des preuves d’experts universitaires faisant autorité parce qu’ils disent que c’est faux, et des articles évalués par des pairs approuvant les condamnations les uns des autres sans même étudier le sujet – condamnation sans fin du professeur Dr Joe Schuster, David Briske, Holocheck et d’autres, pour la plupart des universités du Texas, Nouveau-Mexique, Arizona et Oxford. Je pense que déplorer un tel comportement institutionnel ne fait désormais qu’aggraver le chaos que les experts universitaires proposent aux dirigeants mondiaux lors des conférences successives sur le climat, ainsi que les querelles et les conflits pendant que notre navire coule. C’est la raison pour laquelle j’ai proposé une suggestion simple et sans risque il y a deux ans lors de la COP26. Si suffisamment de personnes soutenaient une telle action directe réconciliatrice, je crois que nous pourrions encore unir l’équipe humaine derrière une bonne science et une collaboration harmonieuse à notre heure de besoin.

Allan Savory.

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